Deuxième étape, les hisser sur les pignons. Pour cela, je me sert des chevalets des échafaudages. Une fois sur les murs, je place, par sécurité, des pièces de bois dans le creux des parpaings, afin d'éviter qu'une panne ne roule et retombe par terre. Une par une, les pannes sont placées dans les cavités aménagées dans les pignons.
Pour la face sud, la fourche de mon vieux Steyr me simplifie le travail. Cahin caha, toutes les pannes sont en place !